Un décret récent, classant certaines armes blanches en catégorie A1, soulève des questions sur la sécurité publique. La police nationale du Maine-et-Loire a émis un communiqué soulignant l'obligation pour les particuliers de remettre sans délai ces armes dans les commissariats ou brigades de gendarmerie. Ces mesures visent à réduire les risques associés à des armes jugées dangereuses.
Parmi les armes désormais interdites figurent les couteaux « zombie », les coups de poing américains ainsi que les armes mixtes intégrant des éléments tranchants ou à feu. Comme le précise le décret 2025-894, ce régime strict répond à une stratégie nationale pour lutter contre la circulation illégale des armes. La police insiste sur l'impossibilité de vendre ces armes, ce qui représente un changement significatif dans la législation.
Les forces de l'ordre ont déjà procédé à la saisie d'une centaine d'armes de catégorie D dans le département, prouvant ainsi les enjeux liés à la détention d'armes prohibées. Un expert en sécurité, Jean Dupont, souligne que « ces nouvelles régulations pourraient décourager des comportements à risque ».
Pour toute personne en possession de ces armes, il est impératif d'agir rapidement afin d'éviter d'éventuelles poursuites. Cette initiative s'inscrit dans un contexte plus large de prévention et de sensibilisation sur les dangers associés à la détention d'armes dangereuses.







