Dans une déclaration puissante, l'ancienne Miss France, Alexandra Rosenfeld, a décidé de se manifester après avoir été citée anonymement dans l'enquête du magazine Elle concernant le chef étoilé Jean Imbert. La révélation de son identité, précédemment cachée sous le pseudonyme 'Éléonore', vise à alerter sur les abus dont elle a été victime.
Des témoignages qui résonnent
Le 23 avril dernier, une enquête a mis en lumière des accusations de violences conjugales à l'encontre de Jean Imbert, avec plusieurs ex-partenaires relatant des expériences traumatisantes. Alexandra Rosenfeld, qui a partagé sa vie avec Imbert de 2013 à 2014, a choisi de témoigner sans masque, déclarant : "Je suis Alexandra, et maintenant, je parle." Son témoignage est particulièrement poignant : "C'était lent, insidieux… l'emprise". Elle évoque un coup de tête reçu, mais souligne que ce qui l’a réellement abîmée ce sont les humiliations verbales et psychologiques subies.
Le poids de la souffrance silencieuse
Dans un post Instagram, Alexandra a partagé une photo choquante d'un rapport médical faisant état de sa fracture du nez, un incident qui a été minimisé par les équipes de communication d'Imbert. D'après elles, la situation aurait été une tentative de défense du chef étoilé. En levant le voile sur cette relation difficile, Alexandra souhaite également soutenir d'autres femmes qui ont vécu des expériences similaires. "Elles parlaient de lui. Et de ce qu'il faisait... bien après moi", a-t-elle précisé.
Un appel à la solidarité
À la suite de son témoignage, d'autres femmes, dont Lila Salet, ont également pris des mesures, allant jusqu'à porter plainte pour violences conjugales. Jean Imbert, tout en maintenant son innocence, a annoncé qu'il se mettait en retrait de ses établissements, soulignant l'importance de laisser la justice faire son travail. Alexandra Rosenfeld encourage les autres victimes à se faire entendre, témoignant ainsi de la puissance de la vérité face à l'emprise insidieuse de l'abus.







