Dans la nuit du 30 au 31 décembre 2025, un incident regrettable mais maîtrisé a marqué un Ehpad à Aigrefeuille-sur-Maine, au sud de Nantes. Aux alentours de 2 heures, un début d'incendie a été signalé dans une chambre, incitant l'intervention rapide de 35 sapeurs-pompiers.
Heureusement, grâce à l'efficacité du personnel, l'occupante de la chambre a été évacuée sans dommage, suivie par quinze autres résidents qui ont été déplacés pour assurer leur sécurité. À l'heure des bilans, aucune hospitalisation n'a été signalée, un fait rassurant après une nuit éprouvante pour tous.
L'alerte rapidement contrée
Les autorités, notamment le Centre opérationnel d’incendie et de secours de Loire-Atlantique (CODIS 44), investiguent sur les causes de cet événement. Selon les premiers éléments, une surchauffe de batterie d'un téléphone mobile pourrait être à l'origine de ce sinistre. Un expert en sécurité, interrogé sur ce sujet, a relevé l'importance d'être vigilant avec les appareils électroniques.
« Nous avons observé une recrudescence de incidents causés par des batteries de téléphones, surtout lorsqu'elles sont laissées en charge pendant la nuit », a-t-il déclaré. Ce type d'incident souligne le besoin urgent d’une meilleure sensibilisation quant aux risques liés à l'utilisation de ces technologies courantes.
En somme, cet incident, bien que maîtrisé, rappelle l'importance d'une prévention renforcée dans les établissements accueillant des personnes vulnérables. Les Ehpad doivent adopter des protocoles de sécurité renforcés afin d'éviter de tels événements à l'avenir. Cette situation a également suscité des appels à une réglementation plus stricte concernant l'utilisation des appareils électroniques dans ces espaces sensibles.







