Une décision qui suscite des réactions
La mairie de Saint-Tropez a révélé que Brigitte Bardot, décédée le 28 décembre 2025, sera inhumée au cimetière marin de la ville, un choix qui contraste avec son souhait de reposer dans sa célèbre demeure de La Madrague. Cette décision a suscité un vif débat parmi ses fans et observateurs, qui s'interrogent sur le respect des derniers vœux d'une des plus grandes figures du cinéma français.
Brigitte Bardot, connue pour sa beauté intemporelle et son rôle emblématique dans le film Et Dieu créa la femme, laisse derrière elle un héritage culturel considérable. Selon des sources proches de l'actrice, son entourage se rend actuellement dans le Var pour organiser ses obsèques dans le respect des traditions locales. Les derniers souhaits de Bardot de reposer à La Madrague soulèvent des questions sur la gestion de sa mémoire.
« C'est un choix compliqué, mais qui reflète une certaine tradition », déclare Jean-Marc, un historien du cinéma à Paris. L'inhumation au cimetière marin, où reposent déjà ses parents, pourrait symboliser un lien fort avec sa famille et son héritage. Néanmoins, de nombreux fans expriment leur déception, arguant que La Madrague représentait l'âme de Bardot.
Un blogueur célèbre, Marie Duval, a commenté : « C'est émotionnellement déchirant de voir que le souhait d'une telle icône n'est pas respecté. La Madrague est plus qu'une maison ; c'est le symbole d'une époque. » Cette tristesse se fait écho parmi les admirateurs qui continuent à célébrer sa vie et son œuvre, la qualifiant de véritable muse de toute une génération.
En attendant la cérémonie, qui n’a pas encore été datée, les commémorations et hommages affluent. Un bouquet de fleurs a été déposé par ses admirateurs sur son étoile au Hollywood Walk of Fame, témoignant de l'impact durable qu'elle a eu sur le cinéma et la culture.
Le dernier adieu à Brigitte Bardot s'annonce comme un moment poignant de recueillement et de célébration de sa vie exceptionnelle, défiant les attentes tout en respectant l'héritage familial qu’elle a tant chéri.







