Jon Ruben, un Britannique de 76 ans, a récemment avoué avoir agressé sexuellement deux jeunes garçons après les avoir drogués. Depuis 25 ans, il dirigeait un camp de vacances chrétien, ce qui soulève des inquiétudes quant au nombre potentiel d'autres victimes.
Selon des sources médiatiques telles que Le Daily Mail, cet homme, autrefois décrit comme un « voisin parfait », a profité de sa position de confiance pour commettre l’irréparable. Les autorités anglaises ont confirmé que Ruben avait drogué au moins huit enfants lors d’un camp en juillet 2024, soulignant les dangers que représentent parfois les figures d'autorité.
Combien d’autres victimes possibles ?
Pour l’instant, le septuagénaire est inculpé pour l'agression sexuelle d'un enfant de moins de 13 ans ainsi que pour le viol d'un autre enfant de moins de 13 ans, mais la police du Leicestershire continue d'enquêter. Des recherches sont en cours dans les écoles de Nottingham pour retrouver d’éventuelles victimes de Jon Ruben.
Une méthode terrifiante
Le Daily Mail a révélé le mode opératoire de Jon Ruben. Il ciblait ses victimes avant même le début du camp, administrant des sédatifs broyés dans des bonbons avec une seringue, ajustant la dose selon le poids de chaque enfant. Une fois les enfants endormis après un "jeu sucré", ils perdaient connaissance dans leur lit, permettant à Ruben de les agresser en utilisant des produits tels que de l’huile pour bébé et de la vaseline.
Les témoignages d’experts en criminologie alarment : « La confiance accordée à des figures d'autorité peut rapidement se transformer en cauchemar. Chaque fois que de telles affaires émergent, elles révèlent l'importance cruciale de la vigilance et du soutien des victimes », souligne un psychologue travaillant avec des enfants victimes d'abus.
La communauté reste sous le choc et la responsabilité des camps de vacances chrétien est remise en question. Les parents s'interrogent sur la sécurité de leurs enfants et sur les mécanismes de contrôle en place.
Avec une enquête toujours en cours, la peur demeure que de nombreuses autres histoires similaires restent encore à découvrir dans l’ombre de ces institutions.







