À 50 ans, Vincent Jolly, directeur des services techniques d'une commune du sud de la Loire, se lance dans la course aux élections municipales des 15 et 22 mars 2026 à Soullans. Anciennement résident de Sallertaine et de Challans, il a fait le choix de revenir à Soullans, la commune de son enfance, depuis 2020, ancrant ainsi son projet dans une forte dimension familiale et locale.
Issu d'une lignée soullandaise, Jolly est père de trois enfants, dont l'aîné fait construire sa maison dans un nouveau lotissement. Avec une expérience solide dans le secteur des travaux publics et un rôle clé dans la gestion d'une collectivité locale depuis sept ans, Jolly a une connaissance approfondie du fonctionnement administratif, des chantiers et de la gestion budgétaire.
Dans une interview accordée à Ouest-France, il a partagé les motifs qui l'ont poussé à se présenter. Avoir vu Jean-Michel Rouillé, le maire sortant, annoncer son retrait a agi comme un catalyseur pour sa candidature. Jolly espère composer une équipe diversifiée, incluant dix conseillers sortants, sous le nom de « Liste d'union et d'intérêt communal ». Leur objectif est de poursuivre le travail engagé par l'administration sortante, tout en apportant un regard frais et dynamique aux défis qui attendent la commune.
« Bien gérée, Soullans peut poursuivre son développement, et il est impératif de le faire de manière réfléchie », affirme Jolly. Il désire soutenir la vie associative, culturelle et sportive tout en écoutant les besoins des Soullandais. En ce sens, il mettra également l'accent sur la nécessité d'une défense robuste des intérêts de Soullans au sein de la communauté de communes (Source : Les Échos).
Cette initiative marque un tournant décisif pour la commune, et des questions émergent déjà autour des projets envisagés pour le futur. Les Soullandais, en attendant les élections, garderont un œil attentif sur l'évolution de cette candidature prometteuse.







